
1 Qui est-on chacun … ?
2 De quoi est-on responsable … ?
3 Qu’est ce qui donne sa valeur à l’humain ?
4 Que réaliser ensemble … ?
5 En se reconnaissant partenaires … ?
6 Pour s’unir, faisant du pire un meilleur … ?
7 Quels moyens d’existence ?
8 Selon quelles lois, choix de société ?
9 Croyant à quoi, à qui, en fin de compte … ?

Quelle est la place de l’écologie dans ces marches d’humanité ? Je ne la trouve pas… C’est pourquoi je propose une marche « alternative »… démarquant « l’économie » par « l’écologie » interrogeant l’humain dans le système vivant qu’il habite. Faut-il alors raccorder l’économie au politique ? Le débat est ouvert…
L’étymologie des deux mots : « écologie » et « économie » (forgés à partir du grec ancien) renvoie comme aux deux versants d’une même réalité.
L’éco-logie = L’art de connaître la maison ?
L’éco-nomie = L’art de gérer la maison ?
De quelle maison s’agit-il ? L’environnement terrestre incluant minéral, végétal, animal, humain ? Ou seulement les sociétés humaines ? Ou de façon plus abstraite : l’organisation des éléments d’un système complexe ?
J’explore une piste, consistant à exprimer au pluriel les 3 marches du bien commun (biens communs ?) :
– les écosystèmes
– les politiques
– les religions
A suivre …